Sorour Darabi : "j’ai un rapport très complexe avec ces cérémonies et ce n’était pas évident de pouvoir se laisser porter par ses intuitions."
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Né-e en 1990 à Shiraz en Iran, artiste autodidacte vivant sur Paris, Sorour Darabi, très actif.ve en Iran, a suivi des études au Centre chorégraphique national de Montpellier où il.elle a créé d'abord le solo "Subjetc to Change", "une performance qui interroge la transformation à travers le temps et la cohabitation avec l’environnement".
Les Bords du Monde : danse, théâtre, musique, cirque réunis pour un spectacle bourré d’énergie !
Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.fr/ La compagnie Ophélia Théâtre s’attache à « faire vivre les créations artistiques au cœur de la cité », et à « créer avec les périphéries du monde : artistes des favelas du Brésil, bidonvilles d’Afrique ou relégués de nos sociétés. Avec des acteurs qui ont des choses à dire ».
Yo Gee Ti : une merveille chorégraphique où les yeux frissonnent du bout des doigts
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Yo Gee Ti, interprétée par des danseurs français et taïwanais, est la reprise d’une pièce créée en mars 2012 au National Performing Arts Center - National Theater & Concert Hall de Taipei( Taïwan) par Mourad Merzouki, l’un des représentants les plus talentueux du hip hop en France.
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Être ou Paraître : quand la danse rend hommage à la poésie et à ce qu'elle a d'immédiat et d'intemporel
Par Justina Zilyte - Lagrandeparade.fr/ Une mise en scène sciemment dépouillée, un piano tout en élégance pour mieux faire Paraître l’Être qui se met à nu dans ses fulgurances poétiques.
Patio Flamenco : un voyage aux accents andalous, plein de maîtrise et de sensualité
Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.fr/ Rubén Molina est un amoureux du Flamenco, ça se voit, ça se sent, ça se ressent dans ce spectacle intimiste, et intense.
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Festival Montpellier Danse 2018 : une 38ème édition pour jouir, encore et encore, de l’énigmatique mystère de la danse
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Jean-Paul Montanari, Directeur de Montpellier Danse et de l'Agora, cité internationale de la danse, nous l’annonce : cette nouvelle édition a pour ambition d’aller toujours plus loin, de conquérir de nouveaux publics et de continuer à satisfaire les fidèles. Comment?
Post Modern Dance : un superbe hommage à Trisha Brown en trois oeuvres fécondes
Par Edith Huguet - Lagrandeparade.fr/ La chorégraphe américaine Trisha Brown était incontestablement une créatrice exceptionnelle, figure emblématique de la Post Modern Dance. Son répertoire immense de génie était accueilli sur les scènes internationales les plus prestigieuses. Disparue en mars 2017, La Trisha Dance Compagnie lui rend hommage avec un programme qui retrace dix ans de créations magistrales de 2000 à 2009. Le théâtre de Nîmes nous a présenté trois pièces de cette oeuvre inventive et féconde
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The Propelled Heart : une danse vibrante à la gestuelle calligraphique guidée par la voix magnifique de Lisa fischer
Par Imane Akalay – Lagrandeparade.fr / William Forsythe présente » le chorégraphe américain Alonso King comme « l’un des rares véritables maitres de ballet de notre époque ». Si elle prend sa source dans l’esthétique du ballet classique, l’écriture chorégraphique sensuelle et rayonnante proposée dans Propelled Heart est résolument contemporaine.
Un break à Mozart 1.1 : noblesse et énergie pour une narration chorégraphique viscérale
Par Edith Huguet - Lagrandeparade.fr/ "Un Break à Mozart 1.1", c'est une rencontre inédite, une volonté de réactualiser des émotions vécues à travers le langage de la danse contemporaine Hip-Hop qui s'unit étroitement à la musique classique virtuose de Mozart, libérant en miroir l'âme, la magnificence de son oeuvre majeure Le Requiem.
Lettere Amorose 1999-2018 : le jardin mystérieux de Raimund Hoghe
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.fr/ « Lettere Amorose » laisse un spectre d'interprétation abyssale. Le rythme du spectacle et le manque de repères laissent parfois le spectateur démuni. Sur la scène du théâtre « humain trop humain », du blanc tapisse le sol. Au loin, un personnage vêtu de noir. Mutique. Il se déplace lentement dans une danse énigmatique. Minimaliste.
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Dancing Grandmothers : "La gaieté appelle le bonheur, la danse appelle le bonheur"
Par Edith Huguet - Lagrandeparade.fr/ Eun-Me Ahn est une chorégraphe incontournable de la scène Coréenne. Pour "Dancing Grandmothers",elle est allée à la rencontre de ces "ajummas" vivant dans des villages sud-coréens - dont sa propre mère - (leur âge oscille entre 70 et 90 ans), pour un voyage inattendu dans le passé.
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Two, seul : mourir, aimer, vivre
Par Imane Akalay – Lagrandeparade.fr / La glaise est omniprésente. Fraiche et visqueuse argile des terres fertiles, terre moulée en briques séchées permettant d’ériger les murs. La glaise dont est modelé l’homme dans l’ancien testament. Celle qui supporte les pas des êtres vivants, celle où l’on enterre les défunts. Glaise à la couleur de chair, porteuse de vie et de mort. A la glaise immuable répond un rouge vibrant porté par touches par les performers.
Brûlent nos cœurs insoumis : une méditation sur les liens fraternels chorégraphiée par les frères Ben Aïm et mise en musique par Ibrahim Maalouf
Par Imane Akalay – Lagrandeparade.fr / Au centre du plateau noir, un tracé blanc au sol dessine un carré symbolisant l’espace intérieur, la maison. Au son d’une trompette et d’un quatuor à cordes, quatre hommes vêtus de couleurs sombres dansent à l’intérieur du tracé, en respectent scrupuleusement les limites, tout à la fois protégés et contraints par les murs de leur enfance. Ils dansent épaule contre épaule, serrés et solidaires, se séparent, se retrouvent, forment des clans, se chamaillent tels de jeunes garçons.
Carmen(s) : une ode à la tolérance et un merveilleux voyage dans l’altérité
Par Imane Akalay - Lagrandeparade.fr/ Un visage d’enfant – au loin les arcades d’un bâtiment mauresque et quelques palmiers se découpant sur un coin de ciel bleu.
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