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Dom JuanPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Qui ne connaît pas l'histoire de ce jeune homme culotté et arrogant, qui tient son origine d'une légende médiévale, devient prétexte à une pièce de théâtre en 1630 avec Tirso de Molina et achève de se transfigurer en mythe en 1665 avec la version de Molière? Dom Juan est ainsi devenu un personnage aux interprétations et questionnements inépuisables.

Lire la suite : Dom Juan : la version décapante et jubilatoire de Jean-François Sivadier

Camille contre ClaudelPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Hélène Zidi donne vie à une femme exceptionnelle dans ce spectacle où se côtoient à époque distanciée Camille Claudel jeune, à l’âge mûr et âgée. La scène s’éclaire sur un atelier de sculpture où sont posés ci et là des modèles de visages, des amoureux s’enlaçant et autres travaux en cours de réalisation. Le portrait de Rodin trône sur un tabouret haut sis derrière la table de travail. L’expression du visage semble avoir été prise sur le vivant pour être figée dans la matière.

Lire la suite : Camille contre Claudel : une vie d’amour-passion qui bascule dans une détresse mêlée d’impuissance

Oiseau bleuPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ « Comme un enfant aux yeux de lumière, Qui voit passer au loin les oiseaux, Comme l’oiseau bleu survolant la terre, Vois comme le monde, le monde est beau Â», extrait de la chanson "L’oiseau et l’enfant "de Marie Myriam.

Lire la suite : L’Oiseau Bleu : Gaël Giraudeau prend son envol au Studio Hébertot

RosairePar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Résumer ce qui se trame dans ce Rosaire des voluptés épineuses est un exercice de haute voltige au succès impossible...il faut donc en premier lieu accepter cette imagination schizophrénique qui narre la rencontre surréaliste d'un dandy poète et criminel du nom de Lancelot avec la médusante Dame du Lac ; cette dernière étant une sorte de double de la "maîtresse chanteuse", " l'attrape-nigaude à divulgation permanente" que le jeune homme a empoisonnée. Il semble qu'elle vienne rejouer la scène sous l'œil diablotin d'un serviteur de l'hôtel : Carlton à la " dignité de carton-pâte"....mais rien n'est moins sûr. Apparaissent soudain, durant la conversation décalée au fil directeur qui se mord la queue de ce duo implacable, deux gangsters qui achèvent de mettre en déroute la logique...

Lire la suite : Le rosaire des voluptés épineuses : un "In memoriam Rodanski" remarquable

Nicole FerroniPar Justina Zilyte - Lagrandeparade.fr/ Elle fait le buzz sur internet, on la voit à la télévision, on l'entend sur France Inter et on peut même la rencontrer dans le petit mais néanmoins très actif théâtre de L'Albarède aux confins du pays héraultais.

Lire la suite : L’œuf, la poule ou Nicole ? : un chemin du savoir semé d'éclats de rire

PézenasPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Marcel Pagnol a pu écrire: « Si Jean-Baptiste Poquelin est né à Paris, Molière est né à Pézenas. Â» Et en effet, en compagnie des acteurs de l'Illustre Théâtre, Molière sillonna le Languedoc presque dix ans et passa près d'un an à Pézenas où il trouva l'inspiration de certaines de ses pièces les plus célèbres.

Lire la suite : Pézenas 2016 : Molière et le Théâtre dans tous ses éclats

Nuit d'ivressePar Alexia Becker - Lagrandeparade.fr/ C’est au Terminus, un bar situé à proximité d’une gare parisienne, que se rencontrent par hasard Jacques Belin, un présentateur vedette de jeux télévisés et Simone Keller, une taularde un brin vulgaire en permission de quelques jours. Alors que Jacques, déjà fortement alcoolisé, attend sa fiancée qui ne viendra pas et que Simone patiente dans l’attente de son train qui doit l’emmener chez sa sœur dès le lendemain, ces deux êtres que tout oppose, poussés par leur solitude respective, vont discuter et s’enivrer ensemble toute la nuit durant. Et ce n’est pas le barman, fier d’accueillir l’animateur dans son bar, qui va les arrêter. La nuit s’annonce mouvementée et le réveil difficile...

Lire la suite : Nuit d’Ivresse : la comédie culte de Josiane Balasko revisitée

ArlequinPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Quelle pagaille amoureuse à Venise! Clarice, fille du marchand Pantalone de Bisognosi, est sur le point d'épouser celui qu'elle aime éperdument, Silvio, fils du Docteur Lombardi, lorsque survient le bariolé Arlequin au message trouble-fête : son maitre, Federigo Rasponi, premier prétendant de la belle et que l'on croyait mort, est en ville et souhaite concrétiser les fiançailles. C'est en fait Béatrice, la sœur du défunt jeune homme transpercé d'une épée par Florindo Aretusi, qui se présente, déguisée en homme pour masquer son identité...Elle souhaite en effet, par ce stratagème, pouvoir rester libre de ses mouvements, et retrouver celui qu'elle aime, ce même Florindo, qui a fui Turin pour échapper à son statut de meurtrier.

Lire la suite : Arlequin serviteur de deux maîtres : la délicieuse comédie d'intrigue du Piccolo Teatro

Ecole des femmesPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Le Théâtre de L’Epée de Bois à La Cartoucherie reçoit La Grande Escale des Tréteaux de France du 26 mai au 2 juillet 2016. Une programmation éclectique de spectacles tout publics et des moments d’échanges autour du théâtre investiront ce lieu atypique chargé d’histoires de pierres et de bois.

Lire la suite : L’Ecole des femmes de Christian Schiaretti : Molière se dresse fièrement sur Les Tréteaux de France

Dorian GrayPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ Oscar Wilde n’avait pas son pareil pour décliner l’amour dans un esthétisme entretenu par la passion et la considération qu’il portait à ses semblables. Elégant dans le phrasé, il emporte les mots dans un cortège d’impressions confondues en oppositions. Il décline l’art comme un élément indissociable de la création. Pourtant, il se défend de croire en la pérennité d’une œuvre car elle n’est qu’illusion entre les mains de l’artiste qui l’a produite pour le plaisir.

Lire la suite : Le portrait de Dorian Gray : l’amour se dénude sur la lie de l’immoralité

Les chatouillesPar Marie du Boucher - Lagrandeparade.fr/ Odette porte le prénom du cygne blanc dans "Le lac des cygnes". Odette danse. Elle danse pour exorciser le mal qui la ronge, pour extérioriser sa douleur, pour vivre par-delà la souffrance. Enfant, Odette devait jouer au jeu des chatouillles avec Guy, un ami de ses parents. Sous ce nom innocent se cachent en fait des attouchements, des viols à répétition.

Lire la suite : Les Chatouilles : le chant émouvant d'un cygne sacrifié

Les cavaliersPar Marie du Boucher - Lagrandeparade.fr/ C’est l’histoire d’une reconquête. Ouroz, le fils du célèbre cavalier Toursène, tombe de cheval lors du bouzkachi du roi (une grande course). Il se blesse à la jambe, mais remporte quand même Jehol, le cheval fou, qui a franchi premier la ligne d’arrivée. C’est le cadeau que lui fait son père : lourd héritage, objet de toutes les convoitises. Ouroz fuit avec Mokkhi, le palefrenier de Jehol, et le cheval, sous le poids de la honte, n’osant affronter son père après la défaite. La blessure empire et menace sa vie. Jusqu’au jour où Ouroz, au bout d’un long voyage initiatique, décide de revenir. Son père lui offre des béquilles et il recommence à monter Jehol, malgré son handicap. A la fin, il part courir les bouzkachi pour devenir lui aussi un grand tchopendoz (cavalier).

Lire la suite : Les Cavaliers : une première adaptation réussie de Joseph Kessel sur les planches

MenthePar Elsa Reynal - Lagrandeparade.fr/ Pénétrer dans le théâtre de Renaissance est une invitation au voyage dans le temps. Cette salle, inaugurée en 1873, a tout d’un théâtre à l’italienne. Les balcons, les dorures, les cariatides faites par Dalou ainsi que le plafond orné d'une toile marouflée de Rubé et Chaperon sont stupéfiants de beauté. C’est donc le cœur léger et les yeux pleins d’étoiles que nous attendons le lever de rideau. Il faut dire que cette pièce a obtenu le Molière de la meilleure comédie en 2011. Nous sommes donc prêts à rire aux éclats.

Lire la suite : Thé la menthe ou t’es citron? : du boulevard haut en couleur

Songe d'une nuit d'étéPar Philippe Delhumeau - Lagrandeparade.fr/ 
Il est des chefs-d'Å“uvre du théâtre classique qui ne lassent jamais d'être vus. Shakespeare avait la faculté d'introduire dans son écriture un tragique de situation sans cesse renouvelé, mais pensé pour Ãªtre traduit par des esprits avertis et ouverts à des influences extérieures.

Lire la suite : Un songe d'une nuit d'été : une fantastique histoire d'amour déclinée au pluriel


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