Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Le Capitaine Crochet s'ennuie...et ce n'est pas la compagnie du stupide Mouche qui va l'aider à aller mieux ! Il décide donc d'emprisonner dans une lanterne la scintillante et pétillante fée Clochette pour obliger Peter Pan à revenir au Pays Imaginaire.
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Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ « Vivre ou ne pas vivre, vivre son rêve même à tout prix ». Paroles d’un des titres-phare de ce conte musical et éloge à la vie, à la liberté, à la quête individuelle de l’assouvissement de ses rêves.
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Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Est-ce notre désir caché et voyeur de nous intéresser à la vie des autres ? Notre part de vice d’observer un couple qui se déchire sous nos yeux et de voir qu’il y a pire que nous dans la vie ?
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Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Du 17 au 25 février 2024, Caroline Réali présente à l'Odéon sa toute nouvelle création pour enfants Le retour de Peter Pan. Créatrice de La Reine des Neiges et le Yéti, grand succès de ce même théâtre ( qui se joue d'ailleurs du 16 au 23 février 2024 également et dans lequel elle interprète la Reine des Neiges elle-même), Caroline Réali invite les jeunes enfants à partir de 3 ans de devenir un enfant perdu et àaider Peter Pan à sauver Clochette des mains du terrible Capitaine Crochet.
Par Sylvie Lefrère - Lagrandeparade.com/ La révolution du coeur traverse Christian Olivier de part en part. Son corps se plie à chaque uppercut du rythme de la batterie, ou du riff de la guitare. Son corps vibre au son de la scie musicale. L'accordéon et le violon donnent une douceur d'harmonie qui ouvrent ses bras. La trompette et l'hygiaphone résonnent en voix jumelles ponctuelles.
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Ça twiste, ça swingue, ambiance de bal rock n’roll avant la rentrée 1959 qui se trame à l’académie de Welton, prestigieuse école où les adolescents se préparent à une carrière d’élite. Ils finiront dans les plus hauts postes de l’administration américaine mais pour l’instant place à la fête avant une rentrée studieuse dans cette école réputée pour sa discipline et son éducation austère.
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Comment grandir et se construire quand on est née de deux parents comédiens, qu’on est fille unique et qu’on a un amour immodéré pour son acteur de père dont les troubles psychologiques ne vous sautent aux yeux qu’une fois que l’enfant a laissé place à l’adulte ? Comment être soi-même quand on ne sait pas réellement qui est son père ?
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ L’adaptation du roman de Victor Hugo Les Travailleurs de la mer convie au combat d’un homme contre la mer, la solitude et ses propres sentiments.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Le jeu de l’amour et du hasard, au-delà des époques, porte sa charge de révolution contre des privilèges ancestraux.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ L’île de Lampedusa, un laboratoire d’expérience humaine, faite de tragédie et de générosité.
Un homme seul sur l’immense plateau vide. Il est vêtu comme on l’est à la ville. Il se met à conter. La mer, tout ce qui rattache, surtout tout ce qui concerne le code marin et le sauvetage. Un plongeur témoigne : toute vie doit être sauvée, sans distinction de sexe, d’âge, de couleur de peau ou religion, par tous les moyens et quelles que soient ses propres convictions politiques ou religieuses –lui est plutôt d’extrême-droite, mais il est avant tout plongeur-sauveteur. Puis le narrateur (l’auteur d’Abysses, l’écrivain sicilien Davide Enia) rapporte sa propre expérience à Lampedusa. Lampedusa, île italienne, au large de Malte, connue comme l’une des principales voies d’entrée en Europe pour les femmes, hommes et enfants fuyant la misère, les guerres en Afrique et en Asie. Il assiste aux débarquements de rescapés des flots, aide, avec des bénévoles à les accueillir dignement. Parfois n’arrivent dans les chaloupes ou jetés par les vagues que des corps, gonflés, défigurés qui ont perdu tout aspect humain. Il n’ont plus de corps, plus de nom, plus de passé. Le narrateur a effectué les visites avec son père ; l’oncle Beppe se meurt en Sicile. Une relation nouvelle se noue, après des décennies de silence, de mutisme, dans l’impossibilité de dire l’amour, simplement de dire, alors que chaque geste, chaque regard sont autant de messages d’amour.
Indifférence et solidarité
Fréquenter de si près la détresse humaine, le mépris, l’indifférence, mais également la dignité des migrants, et la solidarité permet d’ouvrir les vannes des échanges, de la parole. Les deux récits d’une même humanité s’entrelacent, se nourrissent l’un l’autre, se renforcent. La vie est ce bien précieux qu’il faut préserver –le père et l’oncle, médecins l’ont appliqué toute leur carrière durant. Tout comme la dignité dans la mort ; le fossoyeur lave les corps qui portent pour certains les stigmates des violences, des viols (« on ne ferait jamais subir à un animal ce qu’on fait subir aux femmes » témoignent des légistes) ; ce gardien des corps les enterre, sous l’ombre d’une croix et d’un arbuste, fleurit les tombes d’anonymes dont aucune famille ne pourra faire le deuil.
Rencontres et échanges
On l’aura compris : Abysses est un spectacle d’une brûlante actualité en ces temps où la xénophobie, le repli identitaire gagnent l’ensemble du monde. Il ressort de la catégorie : théâtre-récit. Un homme seul sur scène, sans décor, ni costume raconte. Il dévide l’écheveau d’un écrit brut, douloureux mais non exempt d’humour, projeté dans l’urgence. La mise en scène fait le choix de donner à entendre le texte, le poids des mots. Le plateau nu, sombre est cette Méditerranée, mer bienfaitrice, trait d’union entre les peuples, que l’égoïsme, les sombres calculs politiciens ont transformée en cimetière. Quelques points lumineux, étoiles rougeoyantes s’éteignant dans le firmament sombre, confèrent au récit une valeur universelle. La musique en direct (voix et guitare électrique de Claire Vailler), donne voix à la mer, d’étale à déchaînée, de bienfaisante à dangereuse. Quant au comédien, Solal Bouloudnine, il n’est que de saluer une performance, tout de nuances du phrasé, de justesse gestuelle, qui traduisent la profonde humanité du propos, la complexité des rapports humains.
Abysses
Texte : Davide Enia
Traduction : Olivier Favier
Mise en scène : Alexandra Tobelaim
Avec Solal Bouloudnine, Claire Vailler.
Musique : Claire Vailler et Olivier Meliano
Scénographie : Olivier Thomas
Dates et lieux des représentations:
- Du 28 février au 9 mars 2024 - Théâtre 13, Paris
- Les 13-14 mars 2024 - Théâtre Sorano, Toulouse
- Le 21 mars 2024 - La Garance, Cavaillon
- Les 4-5 avril 2024 - CONOI, La Réunion
Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Qu’il soit idéalisé ou caricaturé, le pouvoir fascine et attise les convoitises. Nous suivons l’ascension de deux jeunes énarques dans cet univers impitoyable.
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Membre du collectif « de désir » de La Criée, à Marseille, François Cervantes qui participe à « l’espace de conversation » ouvert par Robin Renucci, entend interroger la « matière individuelle du destin commun » (dixit). Le repas des gens part d’une scène de son précédent spectacle, Le Cabaret des absents. Il s’agit de l’arrivée sur scène de Robert et se sa femme, invités par un cousin éloigné du directeur du théâtre, en Ville. Eux habitent, chichement, devine-t-on à leur manière de parler et de s’habiller, dans un quartier qu’ils n’ont jamais quitté, depuis qu’ils se sont rencontré et mis « ensemble » à l’âge de 13 ans.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ J’ai si peu parlé ma propre langue ou comment écrire une vie de femme libre prise dans les soubresauts de la guerre d’Algérie.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Un sentiment de vie entraîne notre être dans un voyage où se mêlent passé et présent, beauté et cruauté.
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