Par Victor Waqué - Lagrandeparade.fr/ « Lettere Amorose » laisse un spectre d'interprétation abyssale. Le rythme du spectacle et le manque de repères laissent parfois le spectateur démuni. Sur la scène du théâtre « humain trop humain », du blanc tapisse le sol. Au loin, un personnage vêtu de noir. Mutique. Il se déplace lentement dans une danse énigmatique. Minimaliste.
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Par Edith Huguet - Lagrandeparade.fr/ Eun-Me Ahn est une chorégraphe incontournable de la scène Coréenne. Pour "Dancing Grandmothers",elle est allée à la rencontre de ces "ajummas" vivant dans des villages sud-coréens - dont sa propre mère - (leur âge oscille entre 70 et 90 ans), pour un voyage inattendu dans le passé.
Lire la suite : Dancing Grandmothers : "La gaieté appelle le bonheur, la danse appelle le bonheur"
Par Imane Akalay – Lagrandeparade.fr / La glaise est omniprésente. Fraiche et visqueuse argile des terres fertiles, terre moulée en briques séchées permettant d’ériger les murs. La glaise dont est modelé l’homme dans l’ancien testament. Celle qui supporte les pas des êtres vivants, celle où l’on enterre les défunts. Glaise à la couleur de chair, porteuse de vie et de mort. A la glaise immuable répond un rouge vibrant porté par touches par les performers.
Par Imane Akalay – Lagrandeparade.fr / Au centre du plateau noir, un tracé blanc au sol dessine un carré symbolisant l’espace intérieur, la maison. Au son d’une trompette et d’un quatuor à cordes, quatre hommes vêtus de couleurs sombres dansent à l’intérieur du tracé, en respectent scrupuleusement les limites, tout à la fois protégés et contraints par les murs de leur enfance. Ils dansent épaule contre épaule, serrés et solidaires, se séparent, se retrouvent, forment des clans, se chamaillent tels de jeunes garçons.
Par Imane Akalay - Lagrandeparade.fr/ Un visage d’enfant – au loin les arcades d’un bâtiment mauresque et quelques palmiers se découpant sur un coin de ciel bleu.
Lire la suite : Carmen(s) : une ode à la tolérance et un merveilleux voyage dans l’altérité
Par Justina Zilyte - Lagrandeparade.fr/ L'Homme d'Habitude, 11 interprètes pour un spectacle de physique expérimentale qui vous atomise dans tous les sens du terme puisqu'il consiste à questionner le fonctionnement du corps, de tous les corps par l'expérience de la scène!
Lire la suite : L'homme d'habitude : un spectacle de physique expérimentale qui atomise!
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Pour célébrer ses trente ans le Béjart Ballet Lausanne revient à Paris avec un ballet mythique, "La Flûte enchantée", pour cinq représentations exceptionnelles : « Une féérie qui nous emporte dans la poésie pure de l’enfance », disait Maurice Béjart, disparu il y a dix ans.
Lire la suite : La Flûte enchantée : Béjart continue à enchanter la danse avec Mozart
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ Dans "Solstice", Blanca Li plonge le spectateur dans un univers en perpétuel mouvement pour rendre hommage à la la beauté du monde, évoquer sa force et son énergie mais également sa fragilité et, en filigrane, sensibiliser tout un chacun - sans discours militantiste cependant - à la nécessité d’en prendre soin.
Lire la suite : Solstice : quand la danse rend hommage à la planète avec une grâce merveilleuse
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Maître de danse né le 7 avril 1950 à Grenoble, Jean-Claude Gallotta proposait en 2015 avec « My Rock » la rencontre du rock et de la danse contemporaine. Cette fois avec « My Ladies Rock », toujours la même approche, la même intention mais, nuance essentielle, le chorégraphe qui a étudié la danse avec le grand Merce Cunningham et qui est tenu pour l’un des plus importants représentants de la « nouvelle danse française », ne convoque que des voix féminines du rock pour évoquer l’histoire d’un genre musical apparu outre-Atantique dans les années 1950 « d’un autre versant ».
Lire la suite : My Ladies Rock : tout pour la nostalgie joyeuse !
Par Imane Akalay – lagrandeparade.fr / La vingtième édition du festival Faits d’Hiver aura lieu du 13 janvier au 17 février 2018 et investira dix lieux parisiens emblématiques. A nouveau le festival accompagnera certains jeunes artistes sur plusieurs années, en révèlera de nouveaux sur la scène parisienne et accueillera des propositions artistiques originales. Avec 34 représentations sur dix lieux de diffusion, le programme promet de belles surprises.
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ "Grand Finale" explore par le biais de la danse la question de la fin d’un cycle ou d’une histoire. « Nous nous confrontons à quelque chose de très sombre, de désespéré, sans qu’il y ait aucune issue à cette situation. Un sentiment général d’apocalypse plane sur la pièce qui laisse les personnages désemparés. Nous évoquons évidemment la mort et le contexte sociétal chaotique actuel. Quelque chose d’énorme, de violent est en train de se passer à l’échelle de la planète qui culbute dans une situation incontrôlée. » (Hofesh Shechter. Propos recueillis le 12.06.2017par Jeanne Liger pour La Villette et le Théâtre de la Ville).
Lire la suite : Grand Finale : la danse incantatoire d’une humanité menacée d'extinction
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.fr / La compagnie de danse Body double explore la diversité des références visuelles et littéraires qu’offre un texte de Gide.
Lire la suite : Nourriture : le corps pour écrire le désir
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ En étroite complicité avec le Quatuor Debussy, Mourad Merzouki a inventé avec ses talentueux danseurs un ballet d’une esthétique irréprochable où la violence intrinsèque du sport de combat se marie avec virtuosité à la douceur de la musique classique, où les caractéristiques de la danse et de la boxe fusionnent pour offrir des minutes de grâce et d’émotion mémorables.
Lire la suite : Boxe Boxe Brasil : l’autopsie chorégraphiée de l’estomac d’un boxeur
Par Imane Akalay – lagrandeparade.fr / Ce spectacle chorégraphié par Frédéric Cellé explore toutes les facettes de la chute dans sa dimension symbolique. Sur une scène équipée d’un sculptural plongeoir de deux mètres dix de haut à double escalier, et d’un poétique rideau de fils blancs, quatre danseurs de blanc vêtus défilent dans un déséquilibre savamment maitrisé, se croisent à toute vitesse en multipliant les acrobaties et sans jamais se toucher. Cela rappelle l’énergie des grandes villes. Un cinquième danseur, simplement vêtu d’un boxer noir, évolue sur le plongeoir, contemple, hésite. Sa gestuelle symbolise l’angoisse et l’attraction du vide.
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