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SportesPar Serge Bressan -  Lagrandeparade.fr / Homme de grande culture, Morgan Sportès propose un grand roman historique. Joli titre : « Le ciel ne parle pas », pour un voyage dans le temps. Le début du 17ème siècle au Japon.

Lire la suite : Le ciel ne parle pas : Morgan Sportes, un grand roman historique

Nos viesPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Depuis de nombreuses années et son premier roman (« Le Soir du chien », 2001), dans le monde littéraire francophone, elle promène une belle réputation. Celle de « conteuse de vies minuscules ».

Lire la suite : Marie-Hélène Lafon : solitudes urbaines

DaoudPar Serge Bressan -  Lagrandeparade.fr / Le voici, le livre sensation parmi tous ceux sortis en cette rentrée d’été 2017 ! C’est « Zabor, ou Les Psaumes ». Son auteur, Kamel Daoud, on l’avait apprécié pour son premier roman, « Meursault. Contre-enquête » (ou « L’Etranger » d’Albert Camus, revisité). Avec « Zabor », il s’impose immédiatement comme l’un des favoris, si ce n’est le favori d’un prix littéraire de prestige, l’automne prochain.

Lire la suite : Zabor, ou Les Psaumes : Kamel Daoud en fable, parabole, confession…

El KhouryPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Un premier roman comme on aime en lire ! L’auteur : Olivier El Khoury, est né à Namur, vit à Bruxelles, a étudié la communication et la création littéraire au Havre et travaille présentement comme comptable.

Lire la suite : Olivier El Khoury : du football pour prétexte…

manègePar Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ Roman de facture légère pour ex-fan des sixties mais empreint d'un fond grave bien de notre temps pour qui s'interroge en philosophe sur la liberté.

Lire la suite : Manège : un roman de facture légère pour ex-fan des sixties

ZeniterPar Serge Bressan -Lagrandeparade.fr / On pourrait appeler cela « une fresque ». Une histoire qui court de 1930 aux premières années du 21ème siècle. On pourrait aussi expliquer qu’on a là un livre de plus de 500 pages qui pose la question : « Peut-on passer maître dans l’art de perdre ? » et qui assure que « c’est long de faire ressurgir un pays du silence ».

Lire la suite : L’Art de perdre : Alice Zeniter , une fresque algérienne…

olivier GuezPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Plongée dans le pire. Avec un anti-héros, ou un héros abject- ce qui revient, finalement, au même. Auteur d’un formidable « Eloge de l’esquive » (2014), Olivier Guez marque cette rentrée 2017 avec « La disparition de Josef Mengele » que l’on peut tout aussi bien qualifier de roman, de roman-quête ou encore de biopic.

Lire la suite : Olivier Guez : plongée dans le pire

Rachel CorenblitPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / « Une classe, c'est comme un roman. Vingt-six histoires qui se combinent, qui se heurtent qui s’emboitent ». Des histoires qui se racontent, qui se vivent quatre, cinq jours sur sept, près de neuf mois dans une année.

Lire la suite : Les attachants : Rachel Corenblit, roman de classe

Claire BarrePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Un samedi de février 2014, un déjeuner en famille. Soudain, un visage d’Indien apparait à Claire Barré, scénariste et romancière. « Une fine paroi transparente, courbée comme la rétine d'un œil, se plaça subitement entre le monde et moi, et sur cette paroi était imprimé le visage d'un chef indien ».

Lire la suite : Claire Barré : Voyage en terre sioux

dugainPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Deux assassinats- celui du président américain J.F. Kennedy en 1963 et celui de son frère Robert, cinq ans plus, alimentent le nouvel et saisissant roman de Marc Dugain : « Ils vont tuer Robert Kennedy ».

Lire la suite : Ils vont tuer Robert Kennedy : Marc Dugain, une Histoire américaine

Albin michelPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / A la toute fin du livre, une précision : « Ce roman n’existerait pas sans ces travaux d’historiens, de sociologues, de mémorialistes et d’écrivains. La mise en scène des personnalités ayant appartenu à l’Histoire reflète ces mémoires véridiques ». Voilà peut-être bien une des raisons de la richesse romanesque de « La vie ne danse qu’un instant » de Theresa Révay qui, pour l’occasion, a reçu le prix Simone Veil 2017. Fresque historique au long cours sur plus de 500 pages, le nouveau livre de l’écrivaine remarquée en 2008 pour « La Louve blanche » nous transporte dans le temps, en 1936. On y découvre Alice Clifford, reporter américaine tout terrain pour le « New York Herald Tribune ». On est à Rome, Benito Mussolini triomphe- il vient de conquérir l’Abyssinie. Dans le même temps, Alice entretient une liaison avec Don Umberto Ludovici, c’est un diplomate proche du pouvoir fasciste, il est marié et père de famille. Toutefois, l’amour n’aveugle pas la reporter : elle aime trop la liberté pour se laisser attraper par le mirage des dictatures.

Lire la suite : La vie ne danse qu’un instant : Theresa Révay, entre Histoire et romance

La tressePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Une dédicace « aux femmes courageuses » et le rappel de la définition du mot « tresse » : assemblage de trois mèches, de trois brins entrelacés. Un échange entre Rémy de Gourmont et Simone de Beauvoir sur le « mystère de la forêt de tes cheveux », et le départ vers l’Inde, une ville de l’Uttar Pradesh.

Lire la suite : Laetitia Colombani : histoires de cheveux…

minusculesPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ Paris, été 1944, les esprits s’agitent à la perspective d’un débarquement imminent et d’une probable prochaine libération de la France occupée. Paris pullule d’affairistes en tout genre, de marchés noirs et de réseaux douteux…collabos, résistants, opportunistes forment un embrouillamini où règne la suspicion, l’ambiguïté, la dénonciation. La culture et les bordels sont inféodés à Vichy et aux officiers allemands. Juan Vega, un catalan pur et dur qui a fui l’Espagne et Franco, va se retrouver par le plus grand des hasards amoureux d’une jeune juive servante dans une maison close et…résistant malgré lui…

Lire la suite : Edouard Bernadac : Grandeur et bassesse, héroïsme et disgrâce dans le « Faubourg des minuscules »

CastillonPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Au hasard des pages, on tombe sur ces mots : « Je voudrais son regard flou sur moi quand il se retourne et qu'il me voit. Je voudrais ses yeux roses de lapin, son odeur de papa pourri. Aujourd'hui, il sent le frais, le propre. Et c'est à Estelle qu'il sourit. A moi, aussi, dit-il quand je pleure. Mais je peux pas aimer son bonheur ». Oui, on ne le dira jamais, on ne l’affirmera jamais assez : Claire Castillon est bien la meilleure auteure française de nouvelles. Et elle le prouve une nouvelle fois avec « Rebelles, un peu »- un recueil de vingt-neuf courtes nouvelles, toutes consacrées à l’adolescence, cette période où « deux semaines, c’est quatre vies ». Jusqu’alors, tant dans ses romans qu’avec ses nouvelles, l’auteure distillait du sombre- là, cette fois, elle penche pour un peu de douceur même si, dans « Garde bien ta clef autour du cou » (la dernière du livre), elle retrouve la causticité et le goût du terrible qui ont fait sa réputation.

Lire la suite : Rebelles, un peu : Claire Castillon au pays de l’adolescence

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