Par Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ Agathe, c’est une petite fille innocente et rêveuse… qui ne devait pas mourir si jeune.
Lire la suite : Noces de Corail : une belle pièce, poignante et poétique
Par Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ Le chant, la danse, l’imitation, il maîtrise. Dans l’humour, il excelle. La prestance et le charisme, on dirait bien qu’il est né avec! Fouad Reeves est un artiste complet et, sur scène rien ne lui fait peur… même les situations les plus déstabilisantes !
Lire la suite : Goodbye Wall Street : Fouad Reeves, un one-man-show ambitieux et fort réussi!
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ A partir d’un entretien sonore recueilli lors de l’été 2018, Caroline Cano a conçu sa première création en compagnie de l’Autre Théâtre. Autour d’une « voix », celle d’un certain « Nico » ancien SDF à la voix cassée chaleureuse (fort agréable à écouter) et au propos philosophe, témoignage sagace d’un parcours singulier, elle a imaginé - assistée de Charlotte Perrin de Boussac - une mise en espace, en corps et en voix d’une poésie sensible et touchante.
Lire la suite : La Rue. A qui est ce monde? : « Ce qui reste, c’est le coeur. »
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ « L’homme assis dans le couloir », c’est un cours récit méconnu de Marguerite Duras. Du 18 juin au 6 juillet 2019, cette histoire intense et violente se déroule sur les planches du théâtre « Les déchargeurs ». Les mots finement taillés de l’écrivaine prennent vie dans ce seul sur scène intimidant, qui mêle les différentes formes du désir.
Lire la suite : L’homme assis dans le couloir : l’histoire d’un désir total
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Comédienne et metteure en scène, Julie Brochen confie, évoquant August Strindberg : « C’est un auteur dont l’univers très particulier m’a toujours à la fois glacée et passionnée ». Autant dire qu’elle a hésité à assurer la mise en scène de « Mademoiselle Julie », un des chefs-d’œuvre de l’écrivain suédois August Strindberg (1849- 1912)… La pièce, créée en mars 1889, est tenue pour une « tragédie naturaliste » et après avoir été présentée initialement à Copenhague mais jugée inconvenante, elle fut montée et reprise à Paris en 1893 avec, dans le rôle-titre, Sissi von Essen, l’épouse de l’écrivain…
Lire la suite : « Mademoiselle Julie » d’August Strindberg : une nuit d’ivresse avec Anna Mouglalis
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ A quoi tient une rencontre? Eitan, jeune chercheur en génétique allemand d’origine israélienne, tombe éperdument amoureux de Wahida, « l’unique », d’origine arabe, brillante, d’une beauté à couper le souffle et qui fait une thèse sur un diplomate musulman qui fut converti de force au christianisme dans l'Antiquité. Confronté à une violente altercation avec Edgar, son père, qui vit cette liaison amoureuse comme une trahison parricide, Eitan s’envole de New-York pour Israel en compagnie de Wahida avec la ferme intention de rencontrer sa grand-mère paternelle autour de laquelle plane depuis un tabou dont il aimerait comprendre l'existence. La vérité ira bien au delà de son imagination...
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Même les entreprises qui conçoivent des machines à générer du rêve n’échappent pas à la crise économique. Alors, conjointement aux tentatives déterminées pour trouver de nouvelles idées, images et techniques plus « spectaculaires », Celle qui nous fait face sur le plateau, spécialisée en générateurs de brouillard, a décidé de louer certaines parties de ses locaux à des musiciens qui répètent...
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Philippe Lebas, à l’origine de ce projet, avait l’envie de jouer seul ce monument pour montrer la complexité des personnages. Le comédien voulait que son interprétation soit un kaléidoscope qui traduise ce que Racine a voulu retranscrire dans son œuvre : un peu de lui et de sa personnalité dans chacun des personnages. L’autonomie de l’acteur devant refléter les oppositions intérieures et les tensions des protagonistes.
Lire la suite : Britannicus : une version jouée par un seul comédien qui ne convainc pas
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Sur une scène au décor minimaliste, on se prend à fredonner « La Vie en rose », « L’Hymne à l’amour » ou encore « Milord ». Une histoire de France défile, en chansons. La légende nous assure qu’elle a été surnommée « la Môme », cette Edith Gassion née dans la misère le 19 décembre 1915 dans le quartier de Belleville à Paris.
Lire la suite : « I Love Piaf » de Jacques Pessis : un spectacle musical pour « la Môme »…
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Scénographie prodigieuse, toujours baignée d’une luminosité entre chien et loup, reposant sur un plateau tournant qui met en avant tantôt une scène de théâtre d’antan, qui fleure bon le bois et Molière, un salon aristocratique sur la table duquel les bougies d'un chandelier sont en route pour l’agonie, une chèvrerie à l'intérieur et devant laquelle s’ébattent quelques bêtes préalablement traites ou encore les côtés d'une masure où trône une grande bassine en bois dans laquelle l’on prend le loisir de patauger…
Lire la suite : Don Juan : le remarquable « grand seigneur méchant homme » de Frank Castorf
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com / Film américain réalisé par John Cassavetes dans les années 70, Opening Night raconte comment Myrtle Gordon, une actrice de théâtre reconnue, assiste à la mort d'une toute jeune admiratrice, Nancy, renversée par une voiture alors qu'elle regardait son idole s'en aller à la fin d’une représentation. Bouleversée par ce drame, la comédienne plonge dans une détresse terrible alors qu’elle est en pleine répétition d’une nouvelle pièce dans laquelle elle interprète une femme qui a perdu sa jeunesse. Lors de la première, malgré ses doutes et son état d’ébriété avancé, elle réussit toutefois, grâce à sa force de caractère et le soutien de toute l'équipe, à jouer et à recueillir l’accueil triomphal de son public.
Lire la suite : Opening Night : John Cassavetes, Cyril Teste et Isabelle Adjani en scène
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Voilà un objet théâtral pour le moins difficile à définir…et c'est l’une de ses ambitions louables! Adaptation délicieusement effrontée du « Capital » de Karl Marx, à mille lieux du trop souvent manichéiste théâtre politique, analyse critique aussi farfeluen qu’extraordinaire d’une société de travail sous le joug d’une organisation capitaliste de la production, cette pièce s’avère désopilante...de bout en bout d’un raisonnement qui se casse volontairement le nez pour mieux relancer le débat et refuse de se prendre au sérieux - surtout quand il s’en donne l’air.
Lire la suite : Banquet capital : quatorze allumés pour un moment théâtral éclairé
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Texte sensible et émouvant, riche en métaphores, le roman de Jeffrey Eugenides, Virgin Suicides, raconte l'histoire des sœurs Lisbon, issues d'une famille puritaine de Grosse Pointe, une banlieue aisée de Détroit, dans les années 1970. Ronnie, professeur de mathématiques, et sa femme ont cinq filles dans l'adolescence : Cecilia, Lux, Bonnie, Mary et Therese. Un jour, la cadette, Cecilia, se coupe les veines puis, quelques semaines plus tard, se suicide en se défenestrant. Dans cette famille qui semble sans histoire, la mère, souhaitant reprendre les choses en main, décide de déscolariser ses filles, les isolant totalement des autres adolescents de leurs âges. Le roman explique les tentatives des jeunes voisins des sœurs Lisbon pour entrer en communication avec elles, et pour percer, des années plus tard, le mystère de ces filles qui les fascinaient et qu'ils ont, au final, à peine connues.
Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Un stand-up mâtiné de danse pour dédramatiser la fin du monde, ou, plus modestement, nous familiariser à l’idée de mourir à petit feu, voire de partir l’esprit libre, après avoir tout dégommé.
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