Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Pendant plus de quarante ans, il a consacré ses jours (et aussi, parfois, ses nuits) à la FIFA- la fameuse Fédération Internationale de Football Association, créée le 21 mai 1904 à Paris.
Par Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ « Je ne sais rien de mon frère mort si ce n’est que je l’ai aimé. Il me manque comme personne mais je ne sais pas qui j’ai perdu. J’ai perdu le bonheur de sa compagnie, la gratuité de son affection, la sérénité de ses jugements, la complicité de son humour, la paix.
Lire la suite : « Mon frère », le dernier roman sensible et tendre de Daniel Pennac.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Il a voyagé en solitaire. Assuré : « Y’a une route » ou encore : « Animal on est mal », et nous a emmenés au Royaume de Siam. Depuis cinquante ans, Gérard Manset est surnommé « le poète du rock ».
Lire la suite : Cupidon de la nuit : Gérard Manset, comme un guerrier dans la vallée de la paix
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Bien sûr, il y a des seins plein d’action, d’autres pleins de passion ou de scandale, nous prévient d’entrée Régine Detambel dans son nouveau roman « Platine ».
Lire la suite : Régine Detambel : à la mémoire de Jean Harlow, star maudite…
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Sans détour, il annonce s’être fixé pour objectif d’« empêcher le lecteur de détourner le regard ». Ce qu’Edouard Louis, 25 ans, avait réussi en 2014 dès son premier livre, « En finir avec Eddy Bellegueule » (300 000 exemplaires vendus) et qu’il avait renouvelé en 2016 avec « Histoire de la violence ».
Lire la suite : Qui a tué mon père : Edouard Louis, entre amour et politique…
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Né en Grèce, arrivé en France à 22 ans, le réalisateur de « Z », « L’Aveu » ou encore « Amen » publie, à 85 ans, ses Mémoires. C’est un livre intense et formidable au joli titre : « Va où il est impossible d’aller ».
Lire la suite : Va où il est impossible d’aller : Costa-Gavras, faire face, encore et toujours…
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Tout commence par l’enfance-normal. Et le souvenir de « ces immenses champs de maïs socialistes ». On lit : « Quand on se tenait au beau milieu d’un champ, parmi les tiges denses de maïs, le champ était une forêt qui vous arrivait au dessus de la tête et barrait la vue. Mais ces arbres sans couronnes ne donnaient pas d’ombre : le soleil vous tapait sur le crâne toute la journée, tout l’été… »
Lire la suite : Tous les chats sautent à leur façon : Herta Müller passe à confesse…
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Pourquoi écrire un nouveau livre sur la chanteuse de blues Bessie Smith, en 2018 ? Stéphane Koechlin, auteur des Routes du Sud à la Vallée heureuse, nous répond : « On vient de fêter le quatre-vingtième anniversaire de sa disparition (au mois de septembre dernier). Elle est l'un des plus grands mythes américains, incarnant la lutte contre le racisme, l'émergence du féminisme et de l'engagement artistique, dominant ce cri blues qui aura largement contribué à détruire la ségrégation aux Etats-Unis.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Jeune fille de 14 ans, elle a été déportée pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les camps de la mort, Auschwitz, Birkenau… Elle en reviendra sans son père qui avait été déporté en même temps qu’elle. Survivante, aujourd’hui à 89 ans… Marceline Loridan-Ivens avait raconté en 2015, avec sa complice Judith Perrignon, cet épisode de l’horreur alors qu’elle était adolescente- c’était « Et tu n’es pas revenu ». Cette année, elle revient avec « L’Amour après »- un grand et beau texte sur le corps, sur l’amour, sur l’apprentissage de la chose amoureuse, sur la réappropriation du corps après un passage dans les camps de la mort. Un texte à lire impérativement.
Lire la suite : L'amour après : Marceline Loridan-Ivens, la jeune femme et la survivante
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Souvent, elle disait : « La chanson, c’était ma récréation après les tournages ! » Brassens, Brel, Sacha Distel ou encore Nino Ferrer ont souhaité un jour composer pour elle. Mais ce sont Jean-Max Rivière, Gérard Bourgeois et surtout Serge Gainsbourg qui ont écrit des textes inoubliables pour Brigitte Bardot.
Lire la suite : Brigitte Bardot : "moi, je joue", un beau-livre de souvenirs inédits et touchants
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Une promesse : Desproges comme vous ne l’avez jamais vu. Et nous voilà donc plongés dans « Desproges par Desproges », premier ouvrage illustré consacré à un maître de l’humour « à la française » et établi par Perrine Desproges (sa fille) et Cécile Thomas. Au fil des pages, sont regroupés archives inédites et entretiens introuvables.
Lire la suite : Desproges par Desproges : l'humour "à la française" en archives inédites
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Henry Miller est mort en 1980 mais son œuvre bouge encore. La preuve, Pascal Vrebos, réédite ses ultimes entretiens qu’il eut avec lui à Pacific Palisades (Californie), mais agrémentés d’une discussion avec son dernier amour, Brenda Venus, une superbe femme qui se voulait actrice à Hollywood et est finalement devenue écrivaine grâce à ses encouragements. Pas de scoop mais il se passe toujours quelque chose avec Henry Miller, un auteur inclassable, qui annonça à la fois Fante, Bukowski, Kerouac… et fut le jumeau américain de Blaise Cendrars. On retrouve ici un Miller encore très vert, malgré ses problèmes de santé, bref un quasi adolescent, ayant toute sa tête et très lucide sur l’impact de la littérature sur les affaires du monde. A l’image de ce qu’il fut : un homme libre, comme Panaït Istrati et Albert Cossery. Des écrivains rares, en dehors des modes.
Lire la suite : Entretiens : Henry Miller s’amuse avec ses muses
Par Catherine Verne - Lagrandeparade.fr/ L'écrivain Marie Darrieussecq rend hommage dans le présent ouvrage à l'expressionniste Paula Modershon Becker. Artiste prolifique, la jeune Allemande née à la fin du dix-neuvième siècle a laissé à sa mort une oeuvre peu connue et qui n'a pas été appréciée de son vivant à sa juste valeur.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / On commence par une citation de Leon Tolstoï : « Les hommes comme vous ne devraient pas avoir d’enfants ; si vous n’étiez pas père, je n’aurais aucun reproche à vous adresser, lui dit d’un air pensif Mlle Schérer ». Puis, page tournée, on enchaîne et on lit : « Je m’appelle Christophe et j’étais déjà assez âgé quand un enfant est entré dans ma chambre avec un papier à la main. Il a agité le papier. Il a agité une punaise dans l’autre main… » Voilà , c’est le début de « Ton père », le nouveau texte de Christophe Honoré, écrivain et cinéaste (entre autres, « Chansons d’amour », « Les Bien-aimées » et « Les Malheurs de Sophie »). C’est estampillé « roman », c’est publié dans la belle collection « Traits et portraits » initiée et dirigée par Colette Fellous.
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