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castillonPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Attention ! choc littéraire… Une fois encore, avec son nouveau roman- « Ma grande », Claire Castillon frappe fort avec l’histoire. Un homme « battu » noie sa femme… D’une phrase cinglante, il avoue : « La vérité, c’est : je t’ai tuée et c’est tout. J’ai sans doute pas raison. Je regrette rien, et c’est mal ».

Lire la suite : Ma grande : Claire Castillon et la violence conjugale

Maelle GuillaudPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ « Tu ne leur ressembleras jamais. Tu n’es pas comme eux. On n’est pas comme eux. Pourquoi n’ai-je pas écouté ce que ma mère me disait ? Pourquoi ces mots ont-ils ricoché sans m’atteindre ? Parce que la réalité était si décevante que j’ai préféré la maquiller pour mieux y croire ? J’ai fait d’eux une famille idéale dans laquelle je pouvais me lover, je les voyais comme ils aiment à se présenter, ou comme j’avais envie qu’ils soient, une famille très française qui malgré moi m’ensorcelait. »

Lire la suite : Une famille très française : l’illusoire de l’apparence !

Clé des coeursPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ En 1957, Napoléon Landais dans son dictionnaire définissait l’amour comme "un sentiment passionné par l’effet duquel le coeur se porte vers ce qui lui parait aimable et en désire la possession".

Lire la suite : Henri Gougaud : la clé des cœurs…pour le royaume de l’amour

EmiliePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Entre deux boulots d’infirmier et deux romans à publier, l’écrivain Aïssa Lacheb (Boukachache) a eu envie d’écrire sur la Grande Guerre, cette boucherie qui fait partie de l’univers où il a grandi : la Champagne-Ardennes.

Lire la suite : Aïssa Lacheb : la guerre 14-18 comme on l’a rarement lue

djianPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Il dit : « Je ne sais pas ce qu’est un écrivain ». Et aussi : « Je suis toujours attiré par les gens un peu bizarres ». A 68 ans, Philippe Djian publie « A l’aube », son vingt-troisième roman. Ces derniers temps, l’auteur de « 37°2 le matin » ou encore de « Zone érogène » a fait preuve d’une grande régularité éditoriale, à raison d’un livre par an. Dans ces romans, certains relèvent l’histoire, d’autres notent le style- bref, chez Djian, il y en a pour tous les goûts. Et c’est confirmé dans la livraison 2018, avec cet « A l’aube ».

Lire la suite : A l’aube : Philippe Djian, intrigue en famille

FranceschiPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Netflix a la série Black Mirror, fiction utopique et dystopique qui nous annonce les éventuels excès des réseaux dits sociaux et des nouvelles technologies en général. Les éditions Grasset ont Patrice Franceschi, auteur de "Mourir pour Kobané", entre autres, écrivain, aviateur et marin, l’un des derniers véritables baroudeurs à la Kessel, qui s’engage pour de justes causes (le peuple Kurde), et nous aura mis en garde sur les dangers d’une humanité déshumanisée, robotisée, dans "Dernières nouvelles du futur".

Lire la suite : Dernières nouvelles du futur : Patrice Franceschi, le visionnaire ironique

LebescoPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Très vite, on lit : « Premier rendez-vous avec mon éditeur. On se retrouve au bar d’un petit hôtel de Saint-Germain, accompagnés d’Alina qui a pris l’initiative de nous présenter ».

Lire la suite : S’aimer quand même : Isild Le Besco et les fragments de vie

Animal BoyPar Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.fr/ Le soir du 13 novembre 2015, Alex passe par hasard devant le Bataclan. Lorsque les flics arrivent, il serre contre lui une jeune femme morte. Dans son délire de junky en manque, sans réfléchir, il raconte être lui-même un rescapé et avoir tout fait pour sauver cette fille retrouvée dehors dans ses bras. Pris au piège de ce premier mensonge, il va s’enfoncer dans son ignoble récit, jusqu’à la noyade.

Lire la suite : Animal boy : un roman coup de poing, qui oscille entre colère et malaise

HamidPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Pour décor, une grande ville, quelque part au Moyen-Orient (Syrie, peut-être Afghanistan ou encore Pakistan, on n’en saura rien). On pressent qu’elle est tout proche de la guerre civile.

Lire la suite : Exit West : Mohsin Hamid, histoire d’amour et « crise des migrants »

microfilmPar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/ « Physique quelconque, visage commun », telle est la fiche de casting d’un figurant de cinéma qui va d’échecs en échecs. Inscrit à Pôle Emploi, par la plus illogique et insensée sélection son profil est retenu pour un travail dans l’énigmatique "Fondation pour la paix continentale".

Lire la suite : Microfilm : "Physique quelconque, visage commun" ou l’absurde destinée d’un figurant.

embareckPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Décidément, fallait-il en douter ?, Michel Embareck est un sacré lascar. Homme aux passions multiples (le rugby et le polar, entre autres), parmi les journalistes et écrivains français et depuis de nombreuses années, il demeure à 65 ans l’un des meilleurs connaisseurs de la pop-rock music.

Lire la suite : Bob Dylan et le rôdeur de minuit : Michel Embareck et Bob et Johnny

splendeurPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ C’est Jean-Bernard Pouy qui l’affirme (à propos de la nouvelle Duras…), sur le bandeau qui va avec « La Splendeur des égarés », très joli titre du nouveau roman de Sylvie Cohen, qui s’était fait connaître par un roman publié chez Belfond : « Les Chiens fous ». Egalement critique littéraire, auteure de théâtre et… prof de gym (!), quand elle était dans l’Education Nationale, ses livres flirtent sur la fragile frontière qui peut faire basculer chacun d’entre nous dans la folie.

Lire la suite : La splendeur des égarés : La nouvelle Marguerite Duras !

TombéePar Félix Brun - Lagrandeparade.fr/Tout en haut de ce village perdu dans les montagnes, Marion et Baptiste mènent une vie simple, rustique ; ils élèvent des chèvres, travaillent dur et puis…une nuit d’hiver Marion ressent des douleurs violentes…elle est en train d’accoucher à son grand étonnement et celui de Baptiste et de tout le monde.

Lire la suite : Tombée des nues : dans le gouffre de la dénégation...

Comme une grandePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Ma première, Luce Marmion, vit à Paris et vient de publier son deuxième roman noir, « Le mur dans la peau », chez Pavillon Noir, un éditeur indépendant, dont l’emblème dresse le pavillon des corsaires. Ma deuxième, Elisa Fourniret, crèche aussi dans la capitale et l’héroïne de son premier roman, « Comme une grande », est souvent « tankée » dans les bars du 11e et du 20e arrondissement de Paname. L’histoire commence à Longwy, en Lorraine.

Lire la suite : Elisa Fourniret et Luce Marmion : deux drôles de d(r)ames à paname


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