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A côtéPar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Trois amis, Arthur, Max et Félicien, trois enfants de la génération Y cherchent à trouver leurs marques en basculant dans le monde du travail, dans cette société matérialiste, dans cet environnement bobo, dans cette illusion culturelle servie par les réseaux sociaux, la drogue, la musique techno…

Lire la suite : A côté : un roman original et émouvant de Benjamin Rosenberg

leilaPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En ouverture, deux citations. La première, d’Edouard Glissant dans « L’Intention politique » : « La damnation de ce mot : métissage, inscrivons-le en énorme sur la page ». La seconde, de William Faulkner dans « Lumière d’août » : « Son sang ne voulait pas se taire, ne voulait pas être sauvé, ne voulait ni l’un ni l’autre ni laisser le corps se sauver lui-même. Son sang noir le poussa d’abord vers la case de nègre puis son sang blanc l’en fit sortir… »

Lire la suite : « Le Pays des autres » de Leïla Slimani : amour et guerre…

songPar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Le 11 mai 1981, Bob Marley est mort à Miami d’un cancer généralisé…mais le chanteur de reggae est récemment aperçu sur la Place Tian’anmen, en Australie, à Hyde Park, à Marseille… ? L’Eglise, perplexe et méfiante, après analyse et enquêtes, reconnait le miracle : le jamaïcain serait ressuscité !

Lire la suite : Résurrection Song : Bob Marley le nouveau Messie ?

love me tenderPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Sur la couverture, il est indiqué « roman ». Et sur le bandeau qui ceint le livre, à côté d’un portrait entre ombre et lumière de l’auteure, on lit : « Puisque rien ne m’oblige ». Après « Play Boy » (2018) voici donc « Love Me Tender », le deuxième roman de Constance Debré- et, au vu et au lu des réactions, on a là un des livres chocs du début de cette année 2020.

Lire la suite : « Love Me Tender » de Constance Debré : le roman de la dépossession

Régis JauffretPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Après la dédicace à ses enfants Marius et Fabiola, en épigraphe de son nouveau roman sobrement titré « Papa », Régis Jauffret annonce : « La réalité justifie la fiction ». Un nouveau roman, deux ans après « Microfictions 2018 » (prix Goncourt de la nouvelle) ; un nouveau livre qui revient à la grande littérature après quelques ouvrages qu’on qualifierait de « romenquête » (sur la mort d’un banquier en Suisse : « Sévère », 2010 ; sur la séquestration d’une enfant par son père en Autriche : « Claustria », 2012, ou encore sur l’affaire DSK dans un hôtel à New York : « La Ballade de Rikers Island », 2014).

Lire la suite : « Papa » : Régis Jauffret entre réalité et fiction

le sourire du scorpionPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Ça commence légèrement, comme dans le film Délivrance, auquel l'auteur français, Patrice Gain, fait plusieurs fois allusion. Le Sourire du scorpion démarre sur une longue scène de rafting, dans un canyon, avec cinq personnages : une famille de quatre personnes (père, mère, et leurs grands enfants, un garçon, une fille) et le guide, Goran, dit « le yougo », un serbe au passé mystérieux...

Lire la suite : Le sourire du scorpion : la délivrance selon Patrice Gain

chatPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Longtemps, Bernard Werber a été le roi des fourmis- plus d’impôts sur la vie, vedette des ventes et même superstar en Corée du Sud. Ancien journaliste scientifique, il se consacre à présent au monde des félins, des chats- en 2016, il publiait « Demain les chats », un roman qui pose question, à savoir si les chats ne seraient pas les seuls êtres vivants capables de nous faire prendre conscience que nous menons le monde à sa perte ? Il poursuit son « étude » des chats avec deux livres : « Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu » (« Tout savoir sur les chats… raconté par un chat », le fameux Pythagore né dans un élevage de laboratoire « où on m’a greffé une prise USB et qui permet de me connecter directement à ce que les humains appellent Internet »). Et deuxième livraison « werbérienne » de la saison : un roman titré « Sa Majesté des chats », suite de « Demain les chats ».

Lire la suite : « Sa Majesté des chats » et « Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu des Chats » : Bernard...

donnerPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Par amour pour un cheval, pour le cheval, que ne ferait-on ? Certains sont même allés jusqu’en Syrie, pays en guerre, anéanti, vidé- depuis 2011, entre 300 000 et 500 000 personnes ont été tuées, 1,5 million sont devenues invalides, 6 millions ont fui à l’étranger…

Lire la suite : « Quatre idiots en Syrie » de Christophe Donner : le Festival du cheval pour prétexte…

chessexPar Serge Bressan - Lagrandeparade.com/ Dans la soirée du 9 octobre 2009, lors d’une conférence à Yverdon en bord du lac de Neuchâtel, soudain il s’écroule. Mort. A 75 ans, celui qu’on surnommait « l’ogre des lettres romandes » ou encore « le métèque de la littérature francophone centralisée » quittait le monde. Dix ans après sa mort, lui qui avait reçu le prix Goncourt en 1973 pour « L’Ogre », Jacques Chessex est de retour en librairies avec « Passage de l’ombre », un recueil de dix-sept nouvelles.

Lire la suite : Passage de l’ombre : dix-sept nouvelles de Jacques Chessex

rien ne vient Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ « Dans l'histoire des fils de putes, Granola occupe une place de choix entre Gengis Khan et Napoléon. Mais Houellebecq raconte de la merde. ». Voici le genre de phrase écrite par Julien Moraux, dans son premier roman : « Mais rien ne vient », publié aux audacieuses éditions du Rocher. Car, le moins que l'on puisse dire c'est que ça dépote au niveau dialogue et narration abracadabrantesques, comme dans les meilleurs polars de gare de la San Antonio.

Lire la suite : Sous le Rocher, les pages... : Julien Moraux et Philippe Lacoche, deux romans subversifs à souhait!

moixPar Félix Brun - Lagrandeparade.com/ La littérature a produit une collection d’enfants opprimés, persécutés, de Cosette à Brosse-Bouillon, de Poil de Carotte au Sagouin. Ce roman pourrait s’inscrire dans cette lignée, les coups pleuvent, les brutalités se multiplient, l’humiliation et la vexation s’invitent en permanence « Dedans », à la maison contre ce fils, et ce tout au long de sa scolarité, de la maternelle aux classes préparatoires.

Lire la suite : Orléans : une confession sans concession de Yann Moix

SuèdePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Ainsi donc, ce 10 octobre 2019, on a eu droit à deux Nobel de littérature pour le prix d’un ! Une Polonaise- Olga Tokarczuk, et un Autrichien- Peter Handke. La première a été récompensée pour l’édition 2018, le second pour l’année présente. Tout ça parce qu’il y eut, précédemment, rien moins qu’une déflagration. En effet, le 21 novembre 2017, le « Dagens Nyheter »- l’un des plus importants quotidiens de Suède, tant par les ventes que par sa réputation de sérieux, sort un scoop. Un « coup journalistique » signé Matilda Gustavsson, une longue enquête en première page. Alors, c’est l’époque où la vague #MeToo éclabousse tant et tant de pays dans le monde. Ce matin-là, c’est donc la Suède qui est touchée. La journaliste a écrit et publié un long article dans lequel « dix-huit Suédoises accusent un homme, alors désigné par le surnom anonyme de « kulturprofilen » (personnalité culturelle) de harcèlement sexuel et de viol », rappelle Olivier Truc dans son tout récent livre-enquête titré simplement et efficacement « L’affaire Nobel ». Une déflagration, un cataclysme, un séisme sur un pays, sur une société cités souvent en exemple- ce que, sur le bandeau qui ceint le livre, résume l’éditeur en une formule : « Une autre histoire de la Suède ».

Lire la suite : « L’affaire Nobel » d’Olivier Truc : le génie et la honte

grand-pèrePar Nicolas Bodou - Lagrandeparade.com/ Né en 1900 en Arménie, l’histoire de Garnick Sarkissian commence en 1917, au moment de la révolution russe, son village et sa famille sont massacrés par les cosaques au nom de la révolution bolchévique, le voilà victime mais pour peu de temps.

Lire la suite : Grand père : un voyage au bout de la folie du monde

modianoPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Depuis maintenant plus d’un demi-siècle, on s’y promène comme sur un grand terrain de nulle part. A la lunette d’un microscope, on les regarde, tous ces petits êtres qui courent. Personnes et personnages ordinaires. On pourrait être dans une chanson de Gérard Manset, on chemine parmi les romans de Patrick Modiano. L’automne vient d’arriver, et l’écrivain nous glisse son 29ème roman- il avait commencé en 1968 avec « La Place de l’étoile », il nous revient avec « Encre sympathique ». Entretemps, il a reçu, entre autres, le prix Goncourt en 1978 pour « Rue des boutiques obscures » et le prix Nobel de littérature en 2014. Il a été chanté par Vincent Delerm (« Le baiser Modiano ») et son patronyme a même été décliné pour donner l’adjectif « modianesque »- un mot tout empli de mélancolie et de blues.

Lire la suite : Encre sympathique : dans les pas d’un détective nommé Patrick Modiano

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