Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ C’est le jour J, Gil se marie. Pour préparer cette journée inoubliable, il fait appel à son meilleur ami, Ben. Mais rien ne se passe comme prévu, et les dérapages en cascade vont faire de cette préparation un grand n’importe quoi.
Par Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / En fond de scène, sur l’écran, des images qui se bousculent.
Lire la suite : « Sens dessus dessous » d’André Dussollier : au plaisir des mots
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Bruno Geslin et Jean-Michel Rabeux ont adapté Edouard II de Christopher Marlowe.
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Quatre couples et un homme sortent d’un opéra, l’Orontea de Antonio Cesti.
Lire la suite : La force qui ravage tout : le chant des émotions
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ Ce seul sur scène nous transporte dans la quête identitaire d’une jeune femme. Ecrasée par un monde en déchéance - le nôtre - elle se projette dans la vie de sa grand-mère.
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Du bonheur de donner, offre, au travers des poèmes et textes, un regard sur un aspect méconnu de l’œuvre de Bertolt Brecht.
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Une rencontre imaginaire entre Lennon et McCartney nous replonge dans le mythe qu’ont su créer, en une décennie, les Beatles.
Lire la suite : Lennon et McCartney : une indéfectible amitié
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/La Tendresse réunit sur le plateau de jeunes interprètes qui, par la parole ou la danse, racontent leur rapport à la masculinité. D’où il ressort qu’ils sont soumis, dès leur plus jeune âge, à l’injonction de virilité, qui implique le rapport de force, lequel peut amener à la domination… donc à la violence.
Lire la suite : Théâtre :...où il est question de de la masculinité toxique sans pathos!
Par Sylvie Lefrere - Lagrandeparade.com/ La scène du théâtre Monfort nous offre ce soir deux chaises vides, séparées par une table. Une métaphore de l'histoire de deux frères qui cherchent à remplir leur vide affectif. Ils mettent à plat leur histoire commune devant nous.
Lire la suite : Pater : un dialogue de frères percutant, entre gravité et dérision
Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ « Oblomov », d’après le roman d’Ivan Gontcharov (1812-1891), est l’histoire, à la fois pathétique et prodigieuse, d’un homme tenu par la nostalgie (de l’enfance) et la paresse (la perspective de toute activité laborieuse l’épuise d’avance) qui ne quitte plus sa chambre, ni son divan. La mélancolie l’écrase. Ni ses amis, ni l’amour n’auront raison de cette inertie. Son domaine tombe en ruine (comme l’aristocratie), mais ce pétersbourgeois se laisse glisser dans l’apathie et la contemplation du temps qui passe… Il est la risée de la société qui le juge paresseux. Cependant, grâce à l’entremise d’un de ses rares amis, il tombe malgré tout amoureux. Un temps, cet état euphorique révèle des potentialités nouvelles : senteurs, couleurs, musique, vivacité des sentiments, charme et complexité des êtres…
Lire la suite : Théâtre : l’Oblomovie de Gontcharov revue par le camarade Renucci
Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Un épisode rocambolesque ranimant le voleur, dandy, charmeur le plus populaire de la littérature française.
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ « Una imagen interior » est un moment unique. Une expérience artistique d’1h30, pas vraiment du théâtre, ni de la danse, pas une performance ni de l’opéra, mais un peu tout à la fois. Nous sommes plongés dans un univers original, qui critique sans compromis cette société déconnectée des autres vivants. La compagnie espagnole « El conde de torrefiel » nous propose un spectacle puissant et singulier, qui questionne notre perception du réel.
Lire la suite : El Conde de Torrefiel - Una imagen interior : à la recherche du réel
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Autant le dire, ce spectacle brille par une double originalité : le fond et la forme.
Lire la suite : Le monde du silence gueule ! : Attention danger, spectacle d’utilité publique !
Par Victor Waqué - Lagrandeparade.com/ La folie se restreint-elle à l’hôpital psychiatrique ? Un assassin ne peut-il se définir que par l’acte qu’il a proféré ? Qu’est-ce que la tristesse ? Qu’est-ce que le bonheur ? Qu’est-ce qui définit notre humanité ? Non, ce spectacle n’est pas un recueil de dissertations philosophiques, pourtant, il ne cesse d’aborder ces questions de l’existence. Sous couvert d’un humour décapant, absurde et immersif, « La vie est une fête » nous plonge avec brio dans un monde intense, gorgé de paradoxes, le nôtre.
Lire la suite : La vie est une fête : baignade en terre de fous
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