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bondingPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Diffusée depuis le 24 avril 2019 sur Netflix, Bonding n’a pour l’instant qu’une saison de sept épisodes de 16 minutes à offrir…et quelle frustration !...car assurément cette série a su trouver le juste dosage entre provocation et humour noir, sexe et sentiments, sensibilité et goût pour l'excès...et l'on a déjà des atomes très crochus avec ses deux protagonistes principaux aux parcours chaotiques dans lesquels tout un chacun peut piocher à l'envie des affinités et points communs.

Lire la suite : Bonding : 50 nuances de sado-masochisme dans une série délicieusement déjantée

vent de libertéPar Serge Bressan -Lagrandeparade.fr / A 50 ans, il est connu comme un spécialiste des divertissements télévisuels et des comédies à succès. Il détient aussi le record pour un film au box-office allemand avec « Qui peut sauver le Far West ? Â» (2001)… Et, amuseur public à la radio et télé outre-Rhin et aussi acteur, scénariste ou encore producteur, Michael Bully Herbig se rappelle au bon souvenir du public avec son cinquième et nouveau film, « Ballon Â» (en VF : « Le Vent de la liberté Â»)- distingué par le Prix du Public lors du Festival International du Film d'Histoire à Pessac (Gironde).

Lire la suite : « Le Vent de la liberté » de Michael Bully Herbig : gloire aux audacieux !

lattesPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Le 29 mars 2019 a eu lieu la première édition de "Fenêtre sur courts" au Théâtre Jacques Coeur à Lattes (34), organisée par les Amis du Théâtre Jacques Coeur et la toute jeune et prometteuse société de production : RED PEAR Production. Un moment convivial et l'occasion de rencontrer de nombreux jeunes réalisateur.rice.s, comédien.ne.s, auteur.e.s, compositeur.rice.s dont Jonathan Boissinot qui a été mis à l'honneur dans une rétrospective de son travail... et de découvrir de très réussis courts-métrages de genres très différents. Une première édition enthousiasmante qui promet de passionnantes éditions suivantes!

Lire la suite : Fenêtre sur courts : la première édition réussie d'un festival lattois prometteur

mariagePar Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Pamela, jeune Rom insolente, spontanée et drôle, veut quitter la vie rude de son village enneigé de Roumanie. Elle s’inscrit dans une agence matrimoniale et armée de sa détermination et de sa volonté d’offrir un avenir à sa petite fille, elle s’embarque vers l’inconnu, rompant avec les traditions qui l’étouffent. Elle atterrit en Belgique, chez Bruno, célibataire un peu timide et mal dans sa peau, rencontré grâce à l’agence. Elle va devoir s’adapter au plus vite à un mode de vie inconnu, aux règles si différentes de sa culture d’origine.

Lire la suite : Seule à mon mariage : un portrait de femme libre, subtil hommage à la culture rom, porté par une...

fousPar Sharka Oberson - Lagrandeparade.com/ Tout semble aller parfaitement dans la famille, tranquille et aimante, de Roman et Camille. Mais lorsque son foyer est mis en danger par son problème d'addiction à la drogue, Roman est obligé de tout avouer à sa femme. Leur quotidien et habitudes s'en retrouvent alors complètement chamboulé et Camille se doit de choisir entre l'amour qu'elle porte à Roman et la sécurité de ses enfants. Avec la pression de l'entourage, des services sociaux et de ses propres tourments, Camille réussira-t-elle à retrouver la confiance en son mari, qui a été brisée ?

Lire la suite : Mais vous êtes fou ! : un premier long-métrage réussi d'Audrey Diwan sur le quotidien familial...

RagtimePar Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Ragtime est l’adaptation par le très talentueux Milos Forman du roman éponyme de E.L. Doctorow, qui se déroule au tout début du XX° siècle, dans une Amérique gangrénée par le racisme. Forman a pris le parti de réaliser un film choral, qui présente de nombreux personnages dont les destinées vont finir par se rejoindre et s’entremêler. Le réalisateur resserre petit à petit l’intrigue sur trois héros : un pianiste noir en quête de respect et de justice, un immigré juif qui devient cinéaste et une jeune actrice éprise de liberté.

Lire la suite : Ragtime : une fresque remarquable de modernité, au casting brillant et à la bande originale...

simonePar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Gilbert et Simone vivent dans l’Hérault. A la retraite, après avoir trimé toute la vie pour faire fonctionner une entreprise leur ayant à peine permis de subvenir à leurs besoins, leur situation financière reste très précaire. Avec Etienne, ils forment un trio complice depuis l’adolescence…seulement, avec l’âge, Gilbert est devenu possessif, autoritaire, renfermé, plutôt réac’ et terriblement asociable et antipathique tandis qu’Etienne, qui a mieux réussi, a gardé l’envie de s’amuser et de sourire à la vie…ce qui ne laisse pas Simone indifférente! 

Lire la suite : Qui m’aime me suive : En avant Simone!

Stan et OlliePar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Ils connurent le grand succès pendant près de trente ans. Ils finirent lamentablement, devant se contenter de tournées dans des salles minables. Eux qui constituèrent un des duos les plus fameux, si ce n’est le plus fameux, du cinéma du 20ème siècle, ont connu un épilogue pitoyable, lamentable. Pour Stan Laurel et Oliver Hardy, ce fut le tour de trop- et ce final en 1953 en Grande-Bretagne a grandement inspiré « Stan & Ollie Â», le nouveau film de Jon S. Baird, réalisateur britannique sérieux et appliqué, 46 ans, connu jusqu’alors pour deux longs-métrages (« Cass Â»- 2008, et « Ordure ! Â»- 2013) et quatre épisodes de différentes séries télé. Pour ce (premier) biopic consacré au duo comique, Baird aurait pu jouer la facilité, dérouler l’histoire des deux comédiens- le maigre et le gros, le laborieux et l’épicurien… Il aurait pu mais, avec la production et le scénariste Jeff Pope, il a opté pour un focus sur un épisode de la vie du duo. Cette fameuse tournée en 1953…

Lire la suite : « Stan & Ollie » de Jon S. Baird : dans l’intimité d’un duo de légende

Sergio et SergueiPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ L'humour à la cubaine n'est pas un vain mot. Pour preuve, Sergio et Sergei, Prix du Public au festival de La Havane, en 2017, est une comédie poético-politique qui retrace avec légèreté le « période spéciale Â», à savoir les années de pénurie qui ont frappé l'ile castriste au départ des russes en pleine perestroïka. Réalisé par Ernesto Daranas, il a été sélectionné comme meilleur film en langue étrangère aux 91èmes Oscars, mais il ne figurait pas sur la liste finale des films soumis par laAcademy of Motion Picture Arts and Sciences, en octobre 2018. Dommage... Parce que c'est une pépite.

Lire la suite : Sergio et Sergei : Cuba si ! Radio no...

AlitaPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / On a peine à y croire mais c’est la réalité : le réalisateur James Cameron a acheté, voilà vingt ans, les droits d’un manga d’une des stars du genre, Yukito Kishoro. Et l’Américain s’était promis d’en assurer le passage sur grand écran. Mais pris par son Avatar de folie, il a déclaré forfait- et refilé l’affaire à son ami, le réalisateur texan Robert Rodriguez connu pour, entre autres, « Desperado Â» (1995) « Une nuit en enfer Â» (1996), la saga très lucrative Spy Kids (2001) et son adaptation de Sin City (2005). Dans un entretien récent, évoquant « Alita : Battle Angel Â», Rodriguez a lancé : « â€˜â€™Alita : Battle Angel’’ est un film de James Cameron qu’il n’a simplement pas eu le temps de réaliser ! » On précise immédiatement que ce film a bénéficié d’un budget de 200 millions de dollars (environ 160 millions d’euros), ce qui en fait un des films de science-fiction les plus chers de l’histoire du cinéma…

Lire la suite : « Alita : Battle Angel » de Robert Rodriguez : de la très bonne S.-F

silencePar Delphine Caudal - Lagrandeparade.com/ Avec 120 000 disparus, 3000 fosses communes et 30 000 bébés volés, c’est une véritable tragédie qui a secoué toute l’Espagne. Et pourtant, c’est un oubli national qui a enterré toutes ces victimes du franquisme…

Lire la suite : Le silence des autres : de la loi d'amnistie et du franquisme...

la libertéPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Prison dite « ouverte Â», située en Corse, Casabianda accueille 130 hommes qui, à plus de 80 %, terminent des peines d'emprisonnement pour des crimes sexuels intrafamiliaux. C'est un centre de détention à la scandinave, au sein d'un vaste domaine agricole : les prisonniers travaillent et il n'y pas de barreaux. Elle n'a rien à voir avec les prisons habituelles : à la place des murailles, et des miradors, les arbres, le ciel et la mer donnent l'impression de liberté... Or, comme le dit bien un des détenus qui a accepté de témoigner à visage découvert, ça bout dans la tête. L'enfer est intérieur. Et la réinsertion prévue à plus ou moins long terme est loin d'être gagnée : « Nous restons des dangers potentiels Â», ose dire l'un des prisonniers. Prisonnier de ses pulsions, comprend-t-on. De sa psyché. De son histoire familiale : en général, ils ont eux-mêmes été agressés sexuellement et ne peuvent s'empêcher de répéter l'acte qu'ils ont subi.

Lire la suite : La liberté : Derrière la carte postale, l'enfer intérieur

ContinuerPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / Jusqu’alors, on le connaissait cinéaste du huis clos- avec, entre autres, « Nue propriété Â» (2007) ou encore « L’économie du couple Â» (2016). Et là, à 42 ans le Belge Joachim Lafosse change de dimension. Avec « Continuer Â»- son huitième et nouveau film, il joue les grands espaces en adaptant le roman éponyme de Laurent Mauvignier, paru en 2016 (prix Culture et Bibliothèques pour tous).

Lire la suite : « Continuer » de Joachim Lafosse : huis clos en plein air

convictionPar Serge Bressan - Lagrandeparade.fr / La date est précise : 27 février 2000. C’est à cette date qu’a disparu Suzanne Viguier, elle a alors 38 ans, habite Toulouse avec Jacques son mari professeur de droit, ils ont trois enfants- Clémence, Nicolas et Guillaume. Forte des soupçons à la suite des déclarations d'Olivier Durandet qui s'est présenté comme l'amant de Suzanne, la police soupçonne, arrête le mari et pourtant, elle n’a pas même pas le début du commencement d’une preuve. En avril 2009, un premier procès aboutit à l’acquittement de l’accusé, un jugement qui sera confirmé en appel en mars 2010. Aujourd’hui, l’histoire est sur grand écran, c’est « Une intime conviction Â»- le premier et très réussi film d’Antoine Raimbault.

Lire la suite : Une intime conviction : ce doute qui plane…


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