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ProdicisPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/  Nous avons tous nos dessins animés, BD ou émissions de télé préférées, selon nos dates de naissance : Nounours, Bonne nuit les petits, Pif Gadget, Goldorak, Albator, Captain Flam… mais il y a une série qui nous a tous touchés nous, ou nos enfants, un jour ou l’autre, c’est celle de la Saga des Il était une fois… Si, si, ça va revenir, vous allez voir. A l'occasion de son trentième anniversaire, la maison Procidis, producteur et distributeur des séries, va vous raviver la mémoire : Il était une fois la vie, Il était une fois l'espace, etc… Bref, la Belle Histoire de Procidis a maintenant son livre, publié chez Huginn & Muninn, par Marouin Eluasti, Magalie Soufflet et Christophe Lambert (pas l’acteur…).


Lire la suite : Beau Livre : Il était une fois nos séries d’enfance

Femmes préhistoirePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Oubliez Rahan, la Guerre du Feu, Lucy prétendument la plus ancienne de nos ancêtres ou encore la légende selon laquelle l’Homme de Neandertal était notre inférieur et d’une autre espèce avec laquelle nous n’aurions rien à voir… Parce qu’on en apprend tous les jours. Même (et surtout !) à une époque où l’obscurantisme refait surface un peu partout dans le monde.

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LAPDPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Âmes sensibles s’abstenir… Voyeurs bienvenus. L’année 1953 fut l’une des plus sanglantes de l’histoire de la célèbre police de Los Angels : le LAPD cher à James Ellroy, le plus grand écrivain de roman noir depuis Hammet et Chandler. Il commente les archives photographiques avec ce ton acide qu’on lui connait : abrupte et détaillé. Braquages, crimes passionnels, règlements de comptes, accidents, suicides ; beaucoup de suicides… L’un s’est empoisonné dans son salon, celui-ci s’est pendu, enchaîné, vêtu d’un maillot de bain féminin et chaussé de bottes en vynil. Un homme a tué son épouse au maillet de croquet, puis l’a amputée des deux mains, qu’il a enterrées dans le jardin. Beurrrkk !

Lire la suite : LAPD’53 : la Police de Los Angeles comme même Ellroy ne l’avait jamais vue

JazzikPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/  Miles a dit : « Pourquoi jouer autant de notes alors qu’il suffit de jouer les plus belles ? » (on dirait la phrase sur Mozart, ave ses « trop de notes ! »). « Les mecs du free jazz auraient dû l’écouter », commente Michel Leeb dans son beau livre consacré au jazz : "Le Jazz est la musique du xxe siècle. C’est la mère nourricière de toutes les musiques. On part du Jazz. On retourne au Jazz. Il est partout : dans les films, les pubs, les rues, les magasins, les restaurants, les avions, partout. Il n’est pas nécessaire de connaître pour aimer. La preuve tout le monde aime le Jazz. Chacun à sa manière. Voici la mienne."

Lire la suite : Beaux-livres : Après le blues vint le jazz puis le rock...

Vies de JackPar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Double actualité pour Jack London, dont on fête le centenaire de sa mort, en 1916, le 22 novembre prochain. Une entrée dans la Pléiade et deux très beaux livres, l’un paru chez Paulsen, « L’Appel du Grand Ailleurs », par Olivier Weber (beau livre mais qui ne nous apprend rien), et surtout à La Martinière/ Arte éditions, « Une vie d’aventures » racontée par Noël Mauberret et  Michel Viotte, ce dernier ayant réalisé un documentaire que la chaîne Arte diffusera le 3 décembre prochain(1). 
Qui n'a pas lu un livre de Jack London ? « L'auteur dont on se souvient quand on a oublié tous les autres », disait de lui Francis Lacassin, qui préfaça, des années durant, ses livres dans la maintenant mythique collection 10 / 18 des éditions Bourgois. « J'aimerais mieux être un météore superbe, et que chacun de mes atomes brille d'un magnifique éclat, plutôt qu'une planète endormie [..] je veux brûler tout mon temps ». Cette phrase prémonitoire dit tout de Jack London (1876-1916), un écrivain qui eut quarante vies en quarante ans d’existence seulement, pour à peu près le même nombre de livres (romans, nouvelles). Ne fut-il pas pilleur d’huîtres, chasseurs de phoques, ouvrier dans une conserverie, marin, écrivain autodidacte, journaliste, reporter-photographe et j’en passe ? Il est celui chez qui la vie et l'oeuvre se confondent en une seule aventure. L'homme qui vendit 30 millions de livres dans l'ex-URSS ! L'écrivain préféré de Lénine et Trotski. Mais aussi de Jeanne Moreau, Alain Delon et Yves Boisset, le cinéaste…

Lire la suite : Jack London : le "mangeur de vent", le "Kipling du froid", le "Prince des pilleurs d'huîtres"

Le grevissePar Guillaume Chérel - Lagrandeparade.fr/ Vous aimez jouer au scrabble ? Vous préparez le concours pour devenir professeur de Français, ou vous voulez devenir écrivain… La version papier du Grevisse (comme on dit) est arrivée. Sous-titré « Le Bon usage » (de la langue française), c’est un peu le Gault & Millau de la grammaire. Il y a dorénavant la version électronique sur Internet et l’application pour l’accès mobile / smartphone. Avec une citation littéraire par jour et accès direct à l’explication grammaticale liée. Gratuit pour les personnes abonnées au "Bon usage électronique". Un accès rapide à l’index des 2 500 auteurs cités. La possibilité de pointer vos favoris, vos notes personnelles. Impression et téléchargement en format PDF des articles. Le moyen de Partager dans votre réseau. Un Plug-in possible avec votre traitement de texte. Très complète (1 760 pages pour la 16e édition), elle comprend de nombreux exemples et contre-exemples (40 000 citations) tirés de la littérature francophone de toutes les époques, ainsi que de la presse, et fait figure de référence pour tous les professionnels du français, en particulier les écrivains, enseignants, traducteurs et correcteurs.

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Alice au pays des merveillesPar Julie Cadilhac - Lagrandeparade.fr/ « Alice au pays des merveilles » a eu 150 ans en 2015. Pour se représenter Alice, les puristes se souviennent des gravures de John Tenniel ou les aquarelles d’Arthur Rackham, la majorité garde en mémoire la version de Walt Disney ( en 1951), des grands yeux bleus et du diadème qui maintient la chevelure blonde d’une petite fille patiente et attentive envers les êtres étranges qu’elle croise ; les plus jeunes enfin l’identifient sans doute à l’égérie de Tim Burton, Mia Wasikowska . Pour le plus grand plaisir des lecteurs, l’année qui vient de s’achever a été riche en nouvelles éditions illustrées du récit fascinant de Lewis Carroll. 

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