Par Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Ils se sont rencontrés voilà sept ans : à l’occasion de l’anniversaire de leur rencontre, Lucien invite Diane son épouse à l’opéra, où « Salomé » de Richard Strauss est à l’affiche.
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Par Félix Brun - Lagrandeparade.com/ Le soir de noël 1944, alors que son épouse et des amis se rendent à la messe de minuit, Romain Rolland va jouer ses dernières notes sur son Pleyel ; dernière volupté, il va interpréter l’ultime sonate pour piano de Beethoven, l’opus 111.
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Par Christian Kazandjian - Lagrandeparade.com/ Londres 1661. Le narrateur annonce la réouverture des théâtres fermés, sous la férule d’une révolution puritaine, alimentée par le clergé, 18 années plus tôt. On va pouvoir, de nouveau, assister aux représentations des pièces de William Shakespeare, notamment les tragédies : Macbeth, Le Roi Lear, Hamlet Othello. Desdémone, épouse du Maure Othello, tient, dans Belles de scène, de Jeffrey Hatcher, une place centrale.
Par Sylvie Lefrère - Lagrandeparade.com/ La scène est hospitalière, faisant oublier le froid quitté à l'extérieur. Nous sommes invités par Lisa Guez, metteuse en scène de Psychodrame, à pénétrer dans le monde intérieur de plusieurs personnes.
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Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ De son arrivée en France il y a un siècle, jeune danseuse noire américaine qui découvre un pays où un noir peut être servi par un blanc, à l’icône mondialement célèbre, les images de Joséphine Baker sont multiples. Alicia Bigot, comédienne, chanteuse, danseuse, femme noire, se glisse dans la peau de Joséphine, pour nous donner à voir toutes les facettes de cette artiste exceptionnelle.
Par Sylvie Gagnère - Lagrandeparade.com/ Dans une troupe de théâtre ambulant, un Monsieur Loyal déterminé mène son petit monde à la baguette pour raconter la terrible histoire de Britannicus.
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ Qu’il est bon d’entendre la langue si particulière et le sens de la formule de Françoise Sagan dans sa première pièce de théâtre. Tout le talent comique et l’esprit malicieux de l’autrice s’y retrouvent condensé dans un univers onirique où les grands espaces côtoient l’étroitesse du huit clos.
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Par Guillaume Chérel - Lagrandeparade.com/ Édène, jeune femme noire, « bac – 2 », dixit, de forte corpulence, veut écrire un livre.
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ A l'ouverture une reine machiavélique qui a des soucis avec un miroir qui n'en fait qu'à sa tête...non seulement elle veut être la plus belle...mais la plus riche aussi et cet impertinent lui apprend qu'il existe dans la forêt de Sherwood un certain Robin des bois qui l'est bien davantage qu'elle!
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Zazagrana, c'est un surnom adorable et plein d'affection ; le surnom de la grand-mère de la conteuse qui nous fait face.
Par Julie Cadilhac - Lagrandeparade.com/ Imaginez quoi! La 6ème D va partir en classe verte!
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Par Nelly Bonnet - Lagrandeparade.com/ Un couple diaboliquement mythique se confronte à son vécu dans un décor à la sobriété mystérieuse.
Leur tissu de complots, de doutes et de désirs s’apprête à tomber à l’unisson avec celui du rideau, des masques et des costumes. Leurs tirades mélancoliques, acérées et métaphoriquement délicieuses suscitent exclamations et ricanements d’un public qui jubile devant cette interprétation d’une précision enflammée.
Excellant à ne plus savoir s’ils torturent l’autre ou eux-mêmes, les deux comédiens pour quatre personnages déclament un venin sensuel, mi-complices mi-bourreaux inspirés et incarnés avec force et brio, entre le panache d’Hélène Alexandridis et la langue affûtée de Stanislas Nordey.
La scénographie est intrigante et lumineuse, la musique d’Alexandre Meyer (directement servie par sa présence sur scène) dresse un pont qui assure la prolongation de l’émotion, des planches jusqu’à la salle.
Quand l’exaltation de la pièce s’achève, évidemment on en voudrait encore, jamais lassés de mélange idéalement dosé de délicatesse et de bestialité.
QUARTETT
Texte : Heiner Müller
Traduction française : Jean Jourdheuil et Béatrice Perregaux
Mise en scène : Jacques Vincey
Avec Hélène Alexandridis, Stanislas Nordey, et le musicien Alexandre Meyer
Collaboration artistique : Blanche Adilon-Lonardoni
Conseil dramaturgique : Irène Bonnaud
Scénographie : Mathieu Lorry-Dupuy
Lumière : Dominique Bruguière assistée de Nicolas Faucheux
Musique : Alexandre Meyer
Costumes : Anaïs Romand, assistée de Anne Blanchard
Perruques et maquillage : Cécile Kretschmar
Construction décor : Pierre-Alexandre Siméon, Clovis Seguin et Stephane Métais
Régie générale : Brice Trinel
Régie costumes : Odile Cretault
Régie son : Matthieu Villoteau et Maël Fusillier
Régie lumière : Jérôme Léger.
Dates et lieux des représentations:
- Les 25 et 26 novembre 2024 au Théâtre Le Cratère - Alès
- Les 29 et 30 novembre 2024 - L’Archipel, Scène Nationale de Perpignan
- Les 3 et 4 décembre 2024 - Théâtre à Pau
- 10 décembre 2024 - Le Théâtre – SN de Saint-Nazaire
- 15 janvier 2025 - L’Odyssée, Scène Conventionnée de Périgueux
Par Sylvie Lefrère - Lagrandeparade.com/ Wajdi Mouawad, au théâtre de la Colline, mais il y fait revivre " La racine carré du verbe être", créée en 2022.
Il nous propose de regarder le monde tous azimuts, de Rome à Beyrouth, de Paris à Montréal, en passant par le Texas. Nous découvrons ces territoires à travers des voix hurlantes, des corps qui souffrent, des êtres qui se déchirent et s'aiment, pour aimer tout simplement.
Dans ce chaos, les paroles fusent, les gestes sont vifs, les portes claquent derrière des pas nerveux. Tout est explosion, des coeurs aux fenêtres. Tout est tension, des corps aux murs.
Nous assistons à l'effondrement de nos systèmes, de nos croyances, de notre humanité.
Wajdi Mouawad, chef d'orchestre de cette trilogie, tient en haleine notre écoute sensible.
La scène prend des formes géométriques. Elle part du simple carré et explore, à travers les différents personnages, des équations pour toucher l'infini des possibles.
Les complexités et les rebondissements des situations triturent nos esprits comme un rubiscube.
Les décors pivotent en rotations fluides. Les comédiennes et les comédiens jouent en choeur choral, virtuoses, ils nous offrent toute leur énergie.
La tête nous tourne dans cette valse des relations et des voyages. Les heures se suivent, un processus de 5 heures, et les spectateurs restent attentifs à cette fresque humaine.
L'art de cette pièce est de nous nourrir, sans nous épuiser; de nous embarquer, sans nous faire chavirer.
De l'adversité s'exprimera le renouveau.
La racine carré du verbe nous en a fait voir de toutes les couleurs, pour ne garder que le vert en mémoire, couleur de l'espoir.
Racine carrée du verbe être
Texte et mise en scène : Wajdi Mouawad
Avec Maïté Bufala, Madalina Constantin, Jade Fortineau, Jérémie Galiana, Delphine Gilquin, Julie Julien, Jérôme Kircher, Norah Krief, Maxime Le Gac Olanié, Wajdi Mouawad, Lucile Roche et Anna Sanchez en alternance, Nathanaël Rutter, Richard Thériault, Raphael Weinstock
et les enfants en alternance : Colin Jolivet Morfin, Meaulnes Lacoste, Théodore Levesque, Balthazar Mas-Baglione, Ulysse Mouawad, Adrien Raynal, Noham Touhtouh
Assistanat à la mise en scène : Cyril Anrep et Valérie Nègre
Dramaturgie : Charlotte Farcet et Stéphanie Jasmin
Scénographie : Emmanuel Clolus
Lumières : Éric Champoux
Costumes : Emmanuelle Thomas assistée de Léa Delmas
Conception vidéo : Stéphane Pougnand
Dessins : Wajdi Mouawad et Jérémy Secco
Musique : Pawel Mykietyn
Conception sonore : Michel Maurer assisté de Sylvère Caton et Julien Lafosse
Maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar
Accompagnement des enfants : Achille di Zazzo
Fabrication des accessoires, costumes et décor ateliers de La Colline
Dates et lieux des représentations :
- Du 20 septembre au 22 décembre 2024 au Grand théâtre de La Colline
Par Xavier Paquet - Lagrandeparade.com/ « L’Amérique, l’Amérique, je veux l’avoir et je l’aurai ». On reconnait les génies à leur vision et à leur sens précurseur de l’avenir du monde.
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